Chine: Shanghai – Bruxelles

Le matin, nous visitons le musée de la ville. Il est incroyablement riche, il y a trop à voir mais tout est superbement présenté dans un bâtiment moderne donc l’architecture vaut bien celle de New York.

Shanghai

Nous passons ensuite Place du Peuple où se trouvent l’opéra et la mairie, et un jardin où se reposent quelques minutes les Shanghaiens. Nous nous promenons sur Nankin Road, les Champs-Elysées locaux. J’achète encore deux petites théières, un vieux film chinois en VCD, un cd d’une chanteuse d’opéra et une bouteille d’alcool de riz dans un supermarché qui regorge de marchandises aux odeurs bizarres.

Shanghai

Le retour vers l’hôtel se fait par les grandes et petites avenues de Shanghai où on voit un autre côté de la vie quotidienne, loin du luxe, entre les magasins de vis et boulons, d’outils et autres pièces détachées. Nous passons le pont sur la Suzhou River, tout a l’air si différent du film, tout est beaucoup plus construit. Près de l’hôtel, il y a un petit marché de fruits et légumes à l’ancienne, au milieu de toute la modernité.

C’est une ville de contrastes entre nouveau et ancien; le linge pend aux fenêtres, les voitures, bus, vélos, motos, piétons se croisent et se bousculent sans aucun respect pour les règles routières et les feux de signalisation.

C’est la fin d’un voyage bien conçu mais aussi très chargé et fatigant. Il me reste beaucoup d’images en tête et le désir de revenir.

Chine: Shanghai

Shanghai est une ville incroyable où se mêle l’ancien et le nouveau sans distinction, où on entend les bruits des marteaux et des bétonneuses à longueur de journée et de nuit (les chantiers sont illuminés de nuit pour permettre la suite du travail).

Shanghai

Nous commençons les visites par la vieille ville avec la maison de thé si connue, des jolies maisons en blanc, noir et bordeaux en style chinois, à deux étages et aux nombreuses découpes dans le bois. Nous passons un pont en zigzag. Je repère un magasin d’instruments de musique et achète une vièle erhu avec l’aide de Nicole, ce qui m’a valu les foudres de Jaak l’emmerdeur parce que j’ai soi-disant ralenti le groupe. Je souhaite l’oublier au plus vite, je l’ignore, l’efface du groupe… sauf que sa voix porte loin. Heureusement d’autres membres du groupe ont temporisé.

Shanghai

Au jardins Yu, le calme est impressionnant au cœur d’une si grande ville.

Shanghai

Shanghai

Shanghai

Shanghai

Le temple du Bouddha de Jade est un de ces temples colorés. Les moines vont et viennent… en Audi. La richesse est entre leurs mains. J’y ai une longue conversation avec Nicole au lieu de visiter l’endroit. Feuillin et Paulette se joignent à nous. Nicole me raconte qu’elle connaît les livres de Mian Mian et de Weihui (que je lisais à l’époque). Même s’ils sont interdits par la censure, ils circulent sur internet. Elle a vu le film Ermo, qui est également interdit, à l’ambassade française. Tout est possible !

Shanghai

Shanghai

Nous nous promenons l’après-midi sur le Bund, l’ancienne avenue de Shanghai, le long de la rivière. C’est un moment très agréable, où je mange une glace tout en flânant.

Shanghai

Shanghai

Shanghai

La soirée se passe au cirque mais j’ai l’impression qu’il s’agit d’une troupe de troisième zone, d’étudiants. J’ai sommeil…

Chine: Suzhou – Shanghai

Suzhou est un des points forts du voyage: c’est une ville de jardins, surnommée Venise de la Chine, et de nombreux poètes y ont vécu et écrit des textes souvent mélancoliques. C’est un endroit calme et serein.

Nous commençons par le Jardin du Maître des Filets: c’est un tout petit jardin (d’un demi-hectare quand même) divisé en différentes sections. Il y a beaucoup de rochers, de rocailles, de pavillons autour d’un étang.

Suzhou

Suzhou

Nous faisons une promenade en bateau sur le Grand Canal et sur le Petit Canal, ce qui donne une autre image de la ville. Elle a des côtés laids, les odeurs nauséabondes stagnent et d’horribles péniches sont chargées et déchargées à la main. Mais il y a aussi des petits ponts, des grands ponts en pierre, un pont des soupirs. On voit la vie à l’intérieur des maisons, le linge qu’on lave, les vieillards qui nous regardent passer.

Suzhou

Suzhou

Suzhou

Suzhou

Nous passons ensuite par un petit marché: odeurs, couleurs, poissons, anguilles, crevettes, légumes, œufs de toutes les couleurs, pâtisseries fraîchement sorties du four, viandes coupées par les bouchers puis suspendues à leur étal. Des chariots transportent melons, bananes…

Suzhou

Suzhou

Suzhou

Le Jardin de la Politique des Simples est beaucoup plus grand (6,5 hectares), plus verdoyant. Des murs cachent puis laissent découvrir de nouvelles parties. Il y a une retraite à l’ombre des bambous, un pavillon entouré de fleurs et d’oiseaux sauvages, un pavillon où on s’arrête pour écouter la pluie, le pavillon des canards mandarins, le kiosque des parfums lointains, la colline du tigre, la pagode tour de Pise. Les touristes chinois sont attirés par diverses légendes et croyances. Les ouvriers enlèvent et remettent des pots de fleurs.

Suzhou

Suzhou

Suzhou

Suzhou

Suzhou

Le Temple de la montagne froide est la visite suivante.

Suzhou

Nous concluons ces visites au calme par un endroit bien bruyant, une fabrique de soie, où le travail se fait à la chaîne.

Suzhou

Nous prenons ensuite l’autoroute vers Shanghai, où nous arrivons la nuit tombée. La ville est féerique, je vois le Bund, la tour de la télévision, le plus haut immeuble de 88 étages, les ponts des multiples autoroutes. Tout est illuminé en bleu ou vert. C’est assez incroyable, inoubliable ! Ces images resteront longtemps dans ma tête… Cette journée est une des plus belles du voyage, entre le calme et la beauté des jardins et la féerie de la ville moderne qu’est Shanghai.

Shanghai

Shanghai

Chine: Hangzhou – Suzhou

Préambule à cette mauvaise journée, écrit tel quel dans mon carnet à l’époque: « Je n’en peux plus, l’autre imbécile (l’accompagnateur donc) a de nouveau râlé pour plein de bêtises, c’est un mêle-tout qui fout tout le voyage en l’air. Nicole en a pleuré et moi, je vais craquer, exploser. Evidemment, les Flamands sont pour lui puisqu’ils ne comprennent pas ce qui se passe vraiment. Il pousse les deux groupes (néerlandophones et francophones) qui s’entendaient si bien l’un contre l’autre, quel idiot, quel infâme personnage… »

Et la vue depuis ma chambre d’hôtel n’est pas des plus pittoresques !

Hangzhou

Heureusement, la visite du temple Lingyin Si, le Temple de la Solitude Inspirée, situé dans un parc avec des grottes et des sculptures du gros Bouddha de l’avenir sur les parois rocheuses est vraiment intéressante. Derrière un de ces Bouddha se trouve un mur avec d’innombrables personnages en argile. Les Chinois font leurs dévotions, un moine lit. Nous visitions aussi la galerie aux 500 statues des disciples du maître.

Hangzhou

Hangzhou

Hangzhou

Hangzhou

La source de jade est fermée et nous allons dont dans un autre parc dont j’ai oublié le nom. La promenade entre les arbres, les poissons rouges, les paons… est agréable.

Hangzhou

Hangzhou

Hangzhou

Hangzhou

J’achète cinq cd pour 10 yuan pièce (environ 50 francs ou 1,25 euros), une théière et encore du thé vert.

Nous partons ensuite en train pour Suzhou, la Venise de la Chine, en passant par Shanghai.

Chine: Guilin – Hangzhou

Le matin, nous allons à la colline de Fubo Shan, la colline qui arrête les vagues. Il n’y a pas grand chose à voir, le temps est couvert et j’ai une crampe au mollet, je ne peux donc pas participer à l’escalade.

Guilin

Ensuite, nous passons à la Grotte de la Perle Restituée.

Nous prenons à nouveau l’avion, pour Hangzhou cette fois-ci, et démarrons de suite les visites, sous la pluie malheureusement. Nous commençons par la Pagode des Six Harmonies, une reconstitution genre mini-Europe de différentes pagodes de Chine.

Hangzhou

Hangzhou

Hangzhou

Nous allons ensuite dans une plantation de thé où nous pouvons goûter le délicat breuvage de Longjing. Les feuilles sont séchées et roulées à la main et cela forme un thé d’excellente qualité. C’est un peu cher mais j’achète quand même une boîte. Les théières sont aussi très jolies mais nous n’avons pas le temps de choisir.

Hangzhou

Le soir, nous recevons lors du souper, un thé aux fleurs de chrysanthèmes qui a un goût de haricots.

Chine: Xian – Guilin

Yangshuo

Ce matin, nous nous levons très tôt pour prendre l’avion vers Guilin, dans le sud du pays. C’est dommage, j’aurais bien aimé avoir une matinée libre. A Guilin, la route serpente entre les rizières et les collines, la chaleur est humide. Cela ressemble aux paysages du Vietnam, et en effet, géographiquement, il s’agit d’une même zone qui s’étend sur 1000 kilomètres.

Yangshuo

Yangshuo

Nous embarquons sur un bateau pour faire une croisière sur la rivière Li à partir de Yangshao. Un repas est prévu à bord. Je n’arrive pas à m’émerveiller, je trouve que la baie d’Halong terrestre est bien plus belle: les collines sont plus rapprochées, créant des jeux d’ombres… et les bateaux sont de simples barques, ce qui rajoute au côté serein et bucolique.

Yangshuo

Yangshuo

L’ambiance du groupe n’est pas au beau fixe: l’accompagnateur belge, Jaak, est quelqu’un d’autoritaire, pas diplomate pour un sou, avare, qui provoque au moins une discussion par jour. Il me gâche mon voyage et dorénavant, je décide de m’asseoir le plus loin possible de lui dans le car pour ne plus l’entendre pérorer. Il est censé faire des commentaires en néerlandais et en français, mais ses traductions sont mauvaises et ses commentaires en néerlandais contiennent de nombreux éléments racistes, paternalistes et condescendants. Je me demande pourquoi il voyage s’il ne supporte pas que les autres soient différents.

Le soir, on nous sert pour la première fois des dim sum, ça nous change ! Cependant, les repas se suivent et se ressemblent, nous recevons tous les jours la même chose, midi et soir et il n’y a pas d’échappatoire possible, d’autant plus que les hôtels sont souvent situés hors du centre des villes.

Chine: Xian

Xian est une des anciennes capitales de la Chine mais c’est aujourd’hui une ville moderne comme toutes les autres, qui a vécu de nombreuses destructions et reconstructions.

Xian

Nous commençons les visites par la forêt de stèles et le temple de Confucius où sont rassemblés d’innombrables stèles historiques et philosophiques. Je prends une photo d’un caractère au hasard, c’est celui qui veut dire « s’envoler ».

Xian

Xian

Nous allons ensuite à la pagode de l’Oie Sauvage, qui commence à pencher comme la tour de Pise. C’est un temple bouddhiste où les Chinois viennent prier. Ils font brûler de l’encens pour montrer leur présence à Bouddha, pour que celui-ci entende leurs prières. Des moines y vivent toujours, malgré la foule nombreuse.

Xian

Xian

Xian

Un des points fort du voyage se trouve dans les environs de la ville: l’armée de terre cuite de l’empereur Qi Huangdi. Un bâtiment moderne a été construit pour abriter les rangées de soldats et chevaux. L’ensemble est vraiment impressionnant, surtout quand on se dit qu’il ne s’agit que d’une toute petite partie des trouvailles.

Xian

Xian

Quand nous rentrons de notre excursion, nous assistons à l’entrée de la ville, sur les remparts, à une cérémonie en grande pompe pour accueillir des touristes américains. Bienvenue à kitschland !

Xian

Xian

Xian

Le soir, nous faisons le genre de sortie que je déteste profondément: nous assistons à un dîner-spectacle pour touristes de danses de l’époque Tang. L’horreur de l’horreur. C’est un spectacle à l’hollywoodienne, avec des costumes hyper kitsch qui n’ont rien à voir avec les superbes statuettes de danseuses antiques du musée de Luoyang. Comme si à l’époque, les danseuses portaient des paillettes et ailes en tissus irisés 100% synthétique ! Quant à la musique, les synthés dominent, le folklore reconstitué casse les oreilles, intégrant même une version de l’air connu d’Aïda de Verdi à la sauce chinoise.

Je suis vraiment déçue. De plus, Xian est réputé pour ses raviolis, mais impossible d’y goûter. Je n’ose pas sortir toute seule et personne du groupe ne veut m’accompagner.

Chine: Luoyang – Xian

Luoyang

Ce matin, nous faisons une courte mais intéressante visite de la « vieille ville ». Nous passons par le marché aux plantes, aux légumes; des poissons vivants et morts, rouges et noirs, sont dans les mêmes bassins. Ils sont pêchés avec une épuisette et puis écaillés vivants. La balance est des plus rudimentaires, une tige avec un poids. Plus loin, il y a des marchands de pâtes, de fraises, de minuscules cerises.

Luoyang

Luoyang

Luoyang

Beaucoup de personnes âgées circulent à vélo. Elles ont un visage usé, brun. Le sourire n’est pas toujours immédiat mais il vient en fin de compte. Des joueurs d’échecs sont assis sur le trottoir.

Luoyang

Luoyang

Nous empruntons un taxi. Une grille sépare les passagers du chauffeur. Le trajet est assez angoissant, les conducteurs sont de vrais cowboys sur la route. Il n’y a pas de règles et la ligne blanche ne sert à rien.

L’étape suivante est Xian, que nous rejoignons en train. Par les vitres, je vois défiler la campagne chinoise, les terres rouges, les maisons rouges, les champs verts, les fleurs jaunes, les arbres aux fleurs violettes. Collines, cultures en terrasses, usines à engrais avec fumées de phosphate. Maisons troglodytes dans les falaises découpées. Ce sont les terres de la Chine du Nord-Est, la Chine du Fleuve Jaune, avec la culture de blé en terrasses.

Nous arrivons en soirée à Xian. La ville est entourée de remparts qui ont l’air neufs, trop restaurés. Longeant ceux-ci, il y a un parc dans lequel les personnes âgées dansent ou font leur gymnastique.

Repas à l’hôtel, comme toujours, mais avec une soirée spéciale: une fondue mongole est au menu. Cela ressemble fort à la fondue japonaise, au sukiyaki. Il faut tremper tous les aliments dans un bouillon pour les cuire.

Chine: Luoyang

Le train arrive à l’heure prévue à Luoyang, ancienne capitale sous plusieurs dynasties, celles de Tang et des Song. La ville est aussi moche que les autres, comme Pékin mais peut-être un peu moins moderne. Les pivoines sont déjà fanés.

Luoyang - Longmen Grottoes

Nous commençons la matinée par une visite des grottes de Longmen, en plein soleil. Des milliers de bouddhas sont éparpillés dans les parois excavées. Cela me donne envie d’aller à Ellora en Inde et je regrette les destructions en Afghanistan. N’empêche, les différentes périodes de l’histoire ont ici aussi amené des dégradations d’images saintes, notamment sous la révolution culturelle. Rien de nouveau donc.

Luoyang - Longmen Grottoes

Luoyang - Longmen Grottoes

Luoyang - Longmen Grottoes

La visite se poursuit au musée local qui abrite des reconstructions de tombes découvertes dans la région. Au musée municipal, c’est l’art des Song qui est exposé.

Le guide belge commence un discussion avec Nicole, la guide chinoise: il veut savoir si nous allons visiter les villages troglodytes, là où vit la vieille femme de 90 ans qui a eu les pieds bandés dans sa jeunesse. Nicole ne cède pas.

En soirée, nous nous promenons dans les petites rues autour de l’hôtel et voyons enfin l’image de la vraie Chine: échoppes de nourritures diverses (raviolis appétissants, soupes de nouilles avalées en vitesse). Bref l’Asie dans toute sa splendeur. J’aurais préféré manger là plutôt qu’à l’hôtel ou dans les restaurants d’état où sont toujours servis les mêmes plats.

Dans le parc en face de l’hôtel, des femmes et des hommes d’au moins 40 ans dansent des valses et d’autres figures assez simples mais stylées. Leur coupe au carré leur va si bien ! Les plus jeunes s’amusent sur de la techno. Plus loin, des gamins apprennent le kung-fu sous le regard sévère de leur professeur. Les vieux se réunissent pour chanter l’opéra, accompagnés de l’orgue à bouche sheng et de l’erhu, une vièle à deux cordes et même du saxophone. Un homme à la voix de fausset chante, une femme interprète un air connu et est applaudie par tout le monde. Beaucoup de monde regarde, ça se pousse, tout ça pour un art qui n’intéresse plus personne. Tout est tellement plus authentique en rue.

Beaucoup de jeunes Chinois, des garçons, sont curieux de savoir d’où on vient. Ils veulent exercer leur anglais mais je ne suis pas sûre qu’ils ont compris nos réponses.

Chine: Beijing

Nous visitons ce matin le Palais d’Eté, toujours dans la foule, ce qui permet de faire de jolis portraits de Chinois, faute de calme. Les pavillons en bois aux décors très découpés me séduisent. La ballade en bateau que nous faisons ensuite était bien agréable. Je m’étonne auprès de notre guide chinoise du fait que malgré les températures plus qu’agréables (tournant autour des 25°), les Chinois sont tous encore emmitouflés avec vestes vêtements chaud. Elle m’explique qu’au printemps, la tradition dicte qu’il faut garder la chaleur à l’intérieur du corps, alors qu’en automne, il faut l’évacuer et que donc, les gens sont souvent très légèrement habillés quand il commence à faire froid.

Beijing - Summer Palace

Beijing - Summer Palace

Beijing - Summer Palace

Beijing - Summer Palace

Beijing - Summer Palace

Beijing - Summer Palace

Beijing - Summer Palace

L’après-midi, nous nous rendons à la Cité Interdite, l’immense et fastueuse demeure de l’empereur. Il n’y a malheureusement aucun effort de présentation: les vitrines sont sales et les objets exposés couverts de poussière. Malgré cela, j’aime cet endroit, il y a moyen de se perdre dans le dédale des ruelles, entre les pavillons des concubines et de l’impératrice. Chaque détour offre une nouvelle vue et de longs murs rouges cachent de petites cours intérieures.

Beijing - Forbidden City

Beijing - Forbidden City

Beijing - Forbidden City

Beijing - Forbidden City

Beijing - Forbidden City

Nous passons la nuit dans le train vers Luoyang. Ce n’est ni mieux ni pire qu’au Vietnam, les draps sont sans doute plus propres et plus grands mais l’odeur des toilettes est assez envahissante. Mais j’ai finalement assez bien dormi !

Beijing