Hong Kong, Macao & Bangkok (2023): Hong Kong – Bangkok

Mercredi 29 novembre 2023

Même si mon avion n’est qu’à 12h45, et que je ne dois pas vraiment me dépêcher le matin, je ne dors pas très bien et me lève avant le réveil. Je prends un petit-déjeuner léger et me prépare à partir avec mes deux valises. Les jours précédents, j’ai étudié le chemin le plus court, mais je n’ai pas réussi à trouver un premier ascenseur pour entrer dans le métro. Je traîne dans mes valises dans les escaliers à Wan Chai mais c’est le seul endroit un peu plus sportif de mon trajet.

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Hong Kong, Macao & Bangkok (2023) : Bruxelles – Helsinki – Hong Kong

Dimanche 12 et lundi 13 novembre 2023

Mon récit de voyage commence en fait un jour avant le départ: le samedi matin, j’ai fait mon check-in à l’aise. Quelques heures plus tard, alors que je faisais ma valise, je reçois un sms et un mail de Finnair me disant que ma place dans le vol Helsinki-Hong Kong est passée de 11A à 66C, que j’ai donc été rétrogradée de la classe business à la classe economy. C’est férié en Belgique, le call-center est fermé, et sur le site de Finnair, le chatbot ne comprend rien à ma demande. C’est un gros coup à mon moral alors que je me réjouissais de ce vol. Je continue cependant de faire ma valise, je n’ai pas d’autre solution que d’espérer une annulation d’un autre passager. La compagnie m’a remboursé la différence de prix, mais je trouve que ce n’est pas très correct de faire ce genre de chose (un employé m’expliquera la raison plus tard).

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Géorgie (2023): Tbilissi – Istanbul – Bruxelles

Dimanche 25 juin 2023

Ce matin, j’ai encore tout juste le temps de manger un petit-déjeuner en vitesse, de prendre une photo du panorama sur la ville et de faire les adieux aux membres du groupe qui sont encore là. Sarah et moi prenons le même avion pour Istanbul, et Kristine nous accompagne à l’aéroport, avec un chauffeur (ce transfert était inclus dans le prix).

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Singapour & Malaisie (2022): Singapour (VI) (- Munich – Bruxelles)

Samedi 24 décembre 2022

C’est ma dernière journée à Singapour, mais mon avion ne partant qu’à minuit dix (le 25 donc), elle sera très longue. A vrai dire je préfère un départ en milieu de journée. Je me prépare donc un programme pour occuper mon temps, avec des heures précises où je compte faire l’une ou l’autre chose. Spoiler: je ne m’y tiendrai pas, parce que toutes les activités prévues prendront moins de temps qu’escompté. Je prends ma matinée pour me reposer vu que j’ai mal dormi et pour faire ma valise, autant profiter du fait que le check out est à midi (ou 11h ? je ne sais plus). Il reste encore plein de place dans mon bagage, par contre j’ai quand même réussi à quasi doubler son poids avec les livres que j’ai achetés – ce n’est pas le thé qui pèse très lourd. Pas de tétris avancé cette fois-ci donc.

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Singapour & Malaisie (2022): Georgetown – Singapour

Lundi 19 décembre 2022

C’est un jour de départ aujourd’hui, ce qui amène toujours un peu d’anxiété. Le chauffeur de taxi est déjà là et je prends en vitesse une photo du chat de l’hôtel. Il n’y a pas de circulation, si bien que suis à l’aéroport de Penang, au sud de l’île, en moins de temps que prévu. Je suis donc trois heures à l’avance…

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Singapour & Malaisie (2022): Bruxelles – Francfort – Singapour

Dimanche 4 et lundi 5 décembre 2022

Le départ n’est qu’en fin d’après-midi en ce dimanche de décembre. Ma valise est prête depuis hier et la matinée a été plus que suffisante pour les derniers détails. Le temps est long et cela n’améliore pas mes angoisses qui sont plus grandes que d’habitude – sans doute parce que cela fait longtemps que je n’ai plus voyagé aussi loin à cause de la pandémie et parce que je ne connais pas bien les pays où je vais. J’ai beaucoup de mal à être excitée, à être dans l’attente des visites (il y a peu de monuments vraiment connus et incontournables) et je sais déjà que j’ai prévu trop de jours à certains endroits.

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Andalousie (2021): Bruxelles – Madrid

Dimanche 3 octobre 2021

Aéroport, un dimanche midi. Cela fait maintenant deux ans que les voyages étaient fortement déconseillés et que je n’étais plus sortie de Belgique (à part quelques heures au Luxembourg). Juste avant le début de la pandémie, j’avais envisagé d’aller en Andalousie, mais j’ai tardé à réserver pour diverses raisons. Fin février, je m’étais ensuite décidée pour un voyage organisé en mai en Géorgie, mais le jour où je m’étais dit que j’allais m’inscrire, un vendredi, j’ai préféré attendre jusqu’au lundi. Le lundi, je me suis dit qu’il serait plus sage de ne pas le faire. Trois semaines plus tard, les frontières du monde entier se fermaient.

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Japon (2019): Wakayama – Kansai Airport

Vendredi 6 décembre 2019

Après avoir préparé mes affaires, je me rends à l’arrêt de bus, mais je me rends vite compte que celui que j’ai pris ne me mène pas à la bonne gare. Je descends. Je ne monte pas dans le suivant parce qu’il n’y a pas de ticket qui sort de la machine et je ne comprends pas bien le système. Je me mets à marcher un bout, fulminant sur moi-même, sur mon inattention et la perte de temps occasionnée. De retour sur la grande avenue, je prends finalement un autre bus qui m’amène enfin à la gare. Je range ma valise dans un casier et me précipite vers la dernière voie pour prendre le petit train local de l’Electric Railway de Kishigawa qui part quelques secondes plus tard.

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Cette ligne locale de trains était vouée à un arrêt définitif, faute de voyageurs, et puis le village de Kishi, au terminus, a eu une idée de génie pour attirer les touristes. J’en parlerai plus loin. Comme j’ai pris un pass pour la journée, je peux interrompre mon voyage quand je veux pour visiter les alentours. Mon premier arrêt est Idakiso, où se trouve un petit temple. Je n’y reste pas très longtemps, il fait bigrement froid aujourd’hui. Et je ne veux pas rater le train suivant.

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Il y en a trois différents qui roulent sur la ligne, tous trois joliment décorés. J’ai de la chance, celui qui arrive est celui dédié à Tama, le chat chef de gare à Kishi. La petite gare a en effet adopté il y a plus de 10 ans un chat errant, et l’a promu chef de gare. L’effet a été immédiat: les touristes ont voulu voir le chat et sont venus en masse, sauvant par la même occasion la ligne de train. Tama est décédé entre-temps mais il a un successeur, Nitama. Et donc les wagons sont entièrement décorés sur le thème des chats, avec une petite bibliothèque, des lampes spéciales et même un emplacement spécial pour quand Nitama prend le train.

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A la gare de Kishi, je m’extasie devant le chat, comme tout le monde. Il est protégé par une vitre d’un côté, et par le comptoir du magasin de souvenirs de l’autre. Il a sa propre couverture chauffante et n’est de service que certains jours et heures. Sa vie ne semble pas trop difficile mais j’imagine qu’il aime aussi se promener à l’air libre quand il ne joue pas son rôle de chef de gare.

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Je ne suis pas fan de chats au point de faire un grand détour dans mon voyage mais comme j’étais à Wakayama, cela aurait été dommage de ne pas faire l’excursion. J’étais également très tentée par une immersion dans la campagne japonaise et je m’étais dit que je visiterais différents villages, allant même à pied de l’un à l’autre. Sauf qu’il faisait fort froid et que je n’arrivais plus à me réchauffer et je ne me suis plus arrêtée au retour. Je pense que l’été est une bien meilleure saison pour se promener dans la régions.

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Une fois arrivée à Wakayama, je récupère ma valise et prends le train pour aller à l’aéroport du Kansai, à mi-chemin entre Wakayama et Osaka. J’y ai en effet réservé une dernière nuit à l’hôtel de l’aéroport, ce qui me permettra le lendemain de ne pas me lever aux aurores et d’avoir peur de rater mon train puis mon avion.

Je récupère mon autre valise qui est bien arrivée depuis Kobe, installe le tout dans la chambre et repars. Mon voyage touche à sa fin mais j’étais vraiment déçue de ne pas avoir trouvé de jolis tissus japonais (et hawaïens, comme à Tokyo). Et donc l’idée a mûri: pourquoi ne pas retourner pour un aller-retour à Osaka ? J’avais noté une adresse et cherché mon parcours via google maps. Je prends donc le train pour Osaka, sans me rendre compte que j’ai choisi un omnibus, et j’avoue que je perds un peu patience, mais j’arrive finalement à Tennoji, d’où je prends le métro pour Namba. J’avais vraiment bien préparé mon voyage, et j’ai donc suivi les indications données par une blogueuse qui indiquait la sortie à prendre et le chemin à suivre pour trouver le magasin de tissu en question, Toraya. Je tombe droit dessus, sans devoir chercher. Et j’y trouve mon bonheur.

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Le système d’achat est un peu bizarre, mais expliqué partout: les rouleaux de tissus ne sont pas présents en entier, seuls des pans d’exposition. Il faut alors demander au vendeur qui en découpe un petit carré et note le métrage voulu. Il envoie le tout à l’étage via un système pneumatique et quelques minutes plus tard, la commande arrive à la caisse où on peut payer.

Je retourne à Tennoji et je me mets dans la file pour le train. Je ne le vois pas arriver alors qu’il est déjà presque l’heure de départ. Je me retourne et le vois derrière moi ! Et c’est un train Hello Kitty, ce qui me fait un second train chat dans la journée. C’est le train rapide et en une demi-heure je suis de retour à mon hôtel.

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Je choisis un restaurant dans le centre commercial attaché à l’aéroport, mais mon choix n’est pas tout à fait réussi pour ce dernier repas. J’ai été tentée par un restaurant-buffet pour pouvoir goûter à plein de choses, mais c’est essentiellement de la cuisine occidentale.

Reste une chose importante: tout ranger dans la valise. Ce n’est pas une mince affaire, j’ai finalement acheté plus que prévu. Je peine, je n’y arrive pas. Et puis je me rends compte que si je veux utiliser au mieux l’extension externe de ma valise, je dois également ouvrir la partie interne. Et j’y arrive finalement. Le lendemain, je verrai qu’elle est passée de 13kg à 20kg…

Une dernière nuit, et puis c’est le grand départ.

Statistiques du jour: 10 373 pas ou 7,7km – 12 étages.

Japon (2019): Osaka

Lundi 18 novembre 2019

L’avion atterrit finalement un peu en avance, vers 9h30 – les courants du jet stream étaient très forts d’après le pilote. L’aéroport d’Osaka ne me fait pas une très bonne impression, il semble en travaux – et puis je me souviens qu’il a été inondé suite à un typhon l’année passée.

Au carrousel à bagages, je vois les valises défiler sans trouver la mienne. Je suppose qu’avec toutes mes aventures de vol annulé, elle est restée à Bruxelles. Et en effet, une employée arrive avec une pancarte portant mon nom. Elle m’annonce que ma valise n’était pas dans l’avion et que je dois remplir une déclaration pour qu’elle me parvienne au plus vite. Et là j’apprends qu’elle n’est pas à Bruxelles: elle a fait un bout de voyage mais est restée bloquée à Helsinki.

Je craignais être fort encombrée pour prendre les transports en commun mais du coup, je suis fort légère. Avant d’aller à Osaka, j’ai une série de formalités à accomplir: chercher la carte SIM que j’avais commandée avant de partir (le service de Mobal est très efficace), retirer de l’argent, valider mon Japan Rail Pass et recharger ma IC card (Suica) pour prendre facilement les transports en commun. Je fais également un passage aux toilettes pour retirer les nombreuses couches hivernales: il fait en effet plus de 20° aujourd’hui.

J’avais repéré le parcours vers mon hôtel et prends donc le train et le métro. Une fois sortie de la station, je me dirige dans la direction supposée de mon hôtel, le Best Western Plus Hotel Fino Osaka Kitahama (ces noms à rallonge !), mais je ne le trouve pas. Je fais demi-tour et me rends compte qu’il est dans une rue perpendiculaire à la grande avenue.

Il est environ 12h30 et je me dis que, comme d’habitude au Japon, je ne pourrai pas prendre possession de ma chambre avant l’heure officielle du check-in, en général à 15h. Je suis en manque de sommeil et crevée, et donc je demande quand même, avec peu d’espoir, s’il n’y a pas moyen de faire une exception. L’employée m’explique que si je deviens membre gratuitement du programme de fidélité des hôtels Best Western, je peux avoir ma chambre tout de suite. Je n’ai pas hésité longtemps !

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— Eddy s’est évidemment tout de suite installé sur le lit —

La chambre est confortable, mais la vue donne sur les bureaux du bâtiment voisin, situé à maximum deux mètres. Je m’affale dans le lit et m’endors pour le reste de l’après-midi. J’avais mis mon réveil à 16h et je me rafraîchis un peu avant de partir pour une ballade. Il se met à pleuvoir et au lieu de marcher, je prends le métro pour la gare d’Umeda. J’y réserve mes premiers tickets de shinkansen – celui que je souhaitais prendre est déjà complet mais il y a une alternative un peu plus tôt.

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— la gare d’Umeda —

Je me promène sans but, montant et descendant les escalators du centre commercial, trouvant par hasard le magasin Ghibli et ses Chatbus et Totoro géants. Je me dis que le voyage ne peut pas mieux commencer, en rappel du précédent l’année passée où dans chaque ville, je suis tombée par hasard sur les magasins Ghibli.

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— graouw —

J’ai faim et je pars à la recherche d’un restaurant. Au sous-sol, les établissements proposant de la cuisine européenne se succèdent jusqu’à ce que je trouve un bar à ramens. Je choisis une soupe de nouilles de Hakata, crémeuse, grasse et salée (dans le bon sens du terme).

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La pluie s’est arrêtée et je prends quelques photos de la rivière et de la mairie d’Osaka, un bâtiment ancien. Puis je rentre à mon hôtel pour une longue nuit de sommeil.

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Comment faites-vous quand vous arrivez tôt le matin dans un pays après un long vol et avec un grand décalage horaire ?

(J’aurais dû poser la question sous l’article précédent: quelle est la pire histoire d’avions que vous avez vécue ?)

Statistiques du jour: 9503 pas ou 7,2 km (pas mal pour un premier jour)

Japon (2019): Bruxelles – Osaka

Dimanche 17 novembre 2019

Ce dimanche, le réveil est fort matinal mais c’est pour la bonne cause. Je me prépare en vitesse, refais le tour de la maison pour être sûre de n’avoir rien oublié, vérifie trois fois que j’ai bien mon passeport, attends avec impatience le taxi commandé hier soir. Il arrive à l’heure prévue et m’emmène à l’aéroport par une autoroute déserte ou presque. Je suis bien évidemment très en avance et j’ai deux bonnes heures à perdre, pendant que le soleil se lève sur le terminal.

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mon avion, à l’arrivée à l’aéroport

Le départ vers Munich, ma première escale, est prévu pour 9h10 et nous embarquons dans l’avion de la Lufthansa qui attend à la première porte du terminal. Le pilote nous annonce qu’il est bientôt prêt à partir mais qu’il faut que l’avion soit d’abord dégivré – il a en effet gelé cette nuit.

Soudainement, la cabine se remplit d’une fumée blanche sentant assez fort l’eau de javel. Le personnel de bord se précipite pour ouvrir à nouveau les portes. La cabine est assez vite aérée mais j’entends le ton monter dans le cockpit. Le pilote fait ensuite une nouvelle annonce, d’abord en allemand. Je ne comprends pas tout mais je sens que la nouvelle n’est pas très bonne. Il confirme mes suspicions en anglais: les ouvriers responsables du dégivrage n’ont pas communiqué avec le pilote avant de commencer leur travail et le système d’air-conditionné qui aurait dû être arrêté a été compromis par le produit (dans la version allemande, j’ai compris que le pilote disait que c’était toujours à Bruxelles que ça se passait – un employé de l’aéroport me dira par la suite que ça arrive une fois par an en moyenne). Après discussion avec la tour de contrôle à Munich, le pilote nous prévient que le vol est annulé.

Mon coeur se serre. Comment vais-je arriver à Osaka ?

Tous les passagers débarquent et les hôtesses de l’aéroport nous demandent d’attendre un moment: nous recevrons par mail des informations concernant un vol de remplacement. Après une demi-heure, elles annoncent que toutes les personnes allant uniquement à Munich trouveront de la place dans l’avion suivant, deux heures plus tard. Pour moi, cela aurait signifié que je ratais ma correspondance pour Osaka. Ce n’est donc pas gagné.

Je reçois un mail qui m’indique un vol vers Francfort mais rien de plus. Après avoir attendu un moment au comptoir, l’hôtesse me précise que la Lufthansa m’a reroutée automatiquement sur un vol Francfort – Beijing – Osaka, arrivant cinq heures plus tard que l’horaire initial. Avant que je n’aie eu le temps de dire quoi que ce soit, elle me dit que ce trajet est stupide et part tout de suite à la recherche d’une autre solution. Quelques minutes plus tard, elle m’imprime deux nouveaux boarding pass, me disant que j’ai eu la dernière place sur un vol Bruxelles – Helsinki – Osaka avec Finnair, arrivant deux heures plus tard que l’horaire initial.

Je suis soulagée: non seulement, je ferai le voyage avec une meilleure compagnie mais en plus j’arriverai moins tôt à Osaka. Mon vol Lufthansa atterrissait en effet à 7h20 et je ne savais pas trop comment m’occuper sans m’endormir avant d’avoir ma chambre à l’hôtel. Avec Finnair, l’heure d’arrivée était de 10h.

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l’avion en panne, vu depuis celui qui m’emmène à Helsinki

Je remercie l’homme d’affaires allemand avec qui j’avais un peu parlé et qui m’a soutenue moralement et je vais attendre mon avion vers Helsinki à la porte correspondante. Avion qui part à l’heure et qui arrive sous un crachin des plus déprimants, avec le soleil qui est déjà presque couché. Il y a déjà quelque chose d’asiatique dans l’aéroport: il est envahi de Chinois, Coréens et Japonais.

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l’avion qui m’emmènera à Osaka, vu depuis l’aéroport d’Helsinki

Je suis enfin en route pour Osaka.